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1867 : Un opticien guérit, sans opération ni remède !

Un opticien parisien, en visite à Toulouse, proposait en 1867 un traitement des maladies des yeux par l’utilisation de lunettes prismatiques.


Guérison prompte et certaine des Maladies des Yeux, amélioration et conservation de la Vue, sans opération ni remède, par l’emploi de Lunettes prismatiques de M. MEYER.

L’oculiste opticien, M. MEYER, de Paris est encore pour quelque temps à Toulouse. Pendant son séjour, il traitera, par le système de verres gradués, les vues faibles, fatiguées et malades. Les presbytes, les myopes ont le plus grand avantage à recourir à ce monsieur. Les personnes atteintes du moindre dérangement dans cet organe, devront s’adresser au plus tôt à cet habile oculiste-opticien, qui applique journellement et avec le plus grand succès un traitement qui depuis plusieurs années, est généralement apprécié. Avec M. MEYER point d’opération, point de remède, mais l’application de ses verres seulement, d’une efficacité merveilleuse pour améliorer les vues faibles, pour soulager instantanément et même pour arrêter et guérir graduellement l’amaurose, cette affection terrible de la vue (système employé par MM. Sichel et Desmarres, deux de nos plus célèbres oculistes de la faculté de Paris).
La haute réputation de M. MEYER, amplement justifiée par les attestations les plus honorables, soit à Paris comme en province, est la meilleure garantie qu’il puisse offrir.

M. MEYER reçoit, à l’Hôtel du Midi, de 9 heures du matin jusqu’à 4 heures.

Source : Le Journal de Toulouse, dimanche 8 décembre 1867, 63e année, n° 557 (Ressources numériques de la Bibliothèque de Toulouse).